DARKEST HOUR : Godless prophets & the migrant flora

Ce nom me dit quelque chose, mais je n’arrive pas à remettre une époque ou un titre dessus. Bah, tant pis, je lance l’écouter dans le flou. Hum, ce joli mix thrashcore / deathcore, alliant puissance de feu et mélodie me dit vraiment quelque chose. Ok, ce type de metalcore est bien connu, et ce depuis des années… Ah mais oui ! Darkest Hour faisait partie de l’écurie Victory au début des années 2000, glorieuse époque du metalcore-roi ! A l’époque, je recevais tellement de disques du genre que j’ai fini par en être gavé. Vingt-deux ans après sa formation, le fait que la formation américaine soit toujours debout est en soi un exploit. Mais le fait qu’elle tienne une telle forme est encore plus remarquable. Car oui, ce neuvième album est une pépite. Excellent de bout en bout, il s’appuie sur un savoir-faire qu’on ne saurait remettre en question. Ce disque a tout : violence, intelligence, virtuosité, authenticité. Si le combo est apparemment passé par une phase plus catchy, les traces ont ici presque disparu. Ce qui reste, c’est une volonté sans faille de proposer une musique puissante, efficace et qui puisse parler à un panel somme toute assez large de metalleux. Et c’est sacrément réussi !

Paroles de l’album

Site officiel

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