Brutal, technique et somme toute assez original, Skinless s’adresse avant tout aux fans de death en mal de nouveautés pour patienter jusqu’au prochain Anata, Nile et consorts. Un second couteau donc, pas encore assez doué pour faire de l’ombre aux gros bonnets du death metal technique, mais suffisamment appliqué, inventif et éclectique (les éléments death, grind, thrash et parfois même heavy se mélangent) pour se creuser une cavité confortable dans le cœur malade des fans du genre. Avis aux amateurs…
Skinless : From sacrifice to survival
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- 83Depuis ma première rencontre avec les américains de Nile, en 2002 avec l'illustre « In their darkened shrines », je n'ai pas vraiment laissé de (deuxième) chance au groupe de me séduire. Pourquoi ? Parce qu'il m'a profondément déçu. Le concept du groupe centré sur l'égypte et son folklore m'avait séduit bien avant…