Un son de guitare crunchy, une voix claire sachant se faire agressive, des influences big rock, heavycore, néo grunge et métal indus, un look « in » et sur la pochette une très jolie jeune femme dans une posture se voulant rebelle. Il y a au Brésil deux catégories de groupes ; ceux qui, formés de die hard fans, se contentant de copier bêtement leurs idoles , et ceux qui poussent les choses plus loin en y apportant leur âme. Et très franchement, après l’écoute de ce « S.O.B. », troisième album de la formation, on ne sait dans quelle catégorie placer Eletrika. Car le groupe est un concept ; prendre plein de petits trucs qu’on a déjà entendu 1000 fois et les assembler pour essayer de nous faire croire que ce qu’on a entre les oreilles c’est du neuf. Oui, mais voilà, Eletrika a oublié une chose : on ne peut pas tromper une personne mille fois..Enfin si, mais on ne peut pas tromper une fois mille personnes…Bref vous m’avez compris, leur musique a tout de la fausse bonne idée, et il en faudra bien plus pour convaincre.
by Dyvvlad
under 2003, 3, Grunge rock, Hardcore, Metal, Mûr(e) et qui s'entretient, N'importe quoi, Neo metal, Punk, Rock, Un homme