Ok, on a là une espèce de rock alternatif d’étudiants, un truc pêchu, assez punk, à l’écoute duquel on imagine bien le groupe faire des poses rebelles, tirer la langue, haranguer le public, ce genre de conneries. Purple a dans ses rangs une chanteuse qui n’hésite pas à se montrer sexy ou à hurler sa rage, un peu comme Gwen Stefani en son temps. Mais la comparaison s’arrête là. Purple est texan et ne fait pas vraiment preuve de la même efficacité. (409) arrive à être bavard et redondant en à peine 10 titres et 33 minutes. Pénible.
Purple : Leche loco
Purple : Thirteen