Oh hé dis-donc, qu’est-ce que c’est que cette affaire ? Peuvent pas nous sortir des disques faciles à classer chez Relapse ? Non mais alors, regardez-les ces allemands de Serpent Eater ! Un nom et une pochette qui fleure bon le doom, et tac, c’est du black qui déboule. Oui, mais du black bizarre. Plus diversifié, joué différemment. Avec des bouts de death dedans. Et de hardcore. Et des rythmiques plus thrashy. Et du sludge. Tout en gardant une unité musicale et une identité forte. Intense comme du metal extrême, rythmé comme du rock, suffisemment long pour laisser un bon souvenir mais trop court pour lasser, ce deuxième album de Serpent Eater fascine autant qu’il interroge. Finalement, on ne sait pas vraiment quel ingrédient fait que la sauce prend, mais on en reprendrait bien quand même. Avec n’importe quoi en-dessous, peu importe, mais encore !
by Dyvvlad
under 2014, 8, Black metal, Death metal, Hardcore, Jeune et dynamique, Metal, Punk, Sludge, Un amour fort et durable, Un homme