Croisement plus ou moins gracieux entre Oasis et ses ancêtres garage rock, The Orwells est un combo de l’Illinois dont « Disgraceland » est le deuxième album en date. Ayant déjà fait les premières parties des Arctic Monkeys, le nom dira peut-être quelque chose à certains d’entre-vous. Le son, lui, plus probablement ; ce que proposent les jeunots, c’est ce qu’on entend beaucoup de nos jours : un habile mélange entre moderne et rétro, avec la banane de rigueur. Et…comment ? Ce qu’ils proposent en plus ? Bah, pas grand-chose. Ah ouais ? Du coup vous vous en foutez ? Moi aussi. Suivant…
The Orwells : Let it burn