Les revoilà, les furieux anglais, prêts à en découdre avec le monde entier au travers de leur neo black punk ultraviolent et ultrarapide. Toujours aussi intense et virulent redéfinissant la haine en dix actes. C’est simple, Anaal Nathkrath est au black ce que le grind est au death, un émissaire de la plus extrême brutalité, un exterminateur implacable et intraitable (oui, comme le traiteur). Pourtant, on déplorera un manque de mélodies accrocheuses, de riffs qui tuent comme ils le faisaient dans les épisodes précédents.