Comme beaucoup, j’ai découvert The Dead South avec le terrible titre « In hell I’ll be in good company » et son clip décalé et coloré. Et probablement comme tous ceux qui l’ont découvert à sa suite, j’ai été conquis par le disque qui l’a porté. Le mélange bluegrass country du quatuor, à la fois simple et terriblement efficace, et doté d’un caractère fort bien retranscrit par la voix gouailleuse de son leader Nate Hilts. Mais c’est bien l’unisson, l’harmonie entre les musiciens du combo qui est mise en valeur au travers des treize titres de cette nouvelle glorification de leurs racines musicales. Alors bien sûr, si vous faites une poussée allergique dès le premier titre, inutile de poursuivre l’écoute, puisque même si pour moi chaque titre a son charme, l’ensemble reste assez homogène. Bref, pas vraiment d’évolution en vue. Ça signifie que les détracteurs du groupe s’ennuieront aussi ferme que par le passé (même si, objectivement, ce disque est beaucoup plus et mieux équilibré), mais aussi et surtout que pour ma part, je le kiffe (encore plus en fait). Longue route à The Dead South !
by Dyvvlad
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