Chacun a ses limites dans la vie. Aujourd’hui, l’air de ne pas y toucher avec son artwork mi-chelou mi-dégueulasse, et son metal bourrin qui part dans tous les sens à la fois, ce disque de Pyrrhon m’a aidé à trouver les miennes. Présenté comme du death metal progressif, « The mother of virtues » reste pour moi, pourtant habitué à des trucs bien barrés, totalement impénétrable, incompréhensible. Le pire étant que même les passages les plus « lisibles » du disque me font royalement chier. J’ai beau jouer éhontément de l’avance rapide, revenir en arrière par remords, je ne vois rien à sauver ici. Vite, une aspirine !