C’est en 1996 qu’apparaît sur une scène trip-hop alors en plein essor une voie extraterrestre, entre le style suscité et le dandysme tranquille d’un jazz option crooner. Cette voix venue d’ailleurs, c’est celle de Jay-Jay Johanson, suédois blond décoloré comme le blé transgénique et au physique de crevette. Et à l’aide de singles à l’allure de tubes instantanés comme « It Hurts Me So » ou « So Tell The Girls That I Am Back In Town », cet auteur-compositeur-interprète (excusez du peu) saura se faire remarquer et apprécier du public. Les albums suivants sont tout aussi intéressants, avis aux amateurs !
Jay Jay Johanson : It hurts me so
Jay Jay Johanson : So tell the grisl that I am back in town