Tous les deux ans environ, Das Ich, géant de l’électro-goth teuton, nous gratifie d’un nouvel album. Et que ces gens-là sont fatigants ! N’y voyez surtout aucune lassitude de ma part, la musique du trio a toujours été bien accueilli chez moi, mais le fait est qu’un disque de Das Ich est toujours bon, que Bruno Kramm trouve toujours le gimmick, la rythmique, la phrase qui fera mouche. D’album en album, la formation opère de menus changements dans la continuité, si bien que leur musique noire et percussive ne laisse jamais le fan sombrer dans l’ennui. Ici, le côté électro est plus affirmé que sur le précédent (et relativement moyen) « Antichrist ». Bon, on est pas encore chez Benny Benassi, pas de panique. Et l’inspiration est au rendez-vous ! C’est vraiment l’album qu’on attendait, tous les ingrédients sont réunis pour le succès. (Marc Poteaux)
Nb : L’album est sorti sous deux formats, l’original et la version remixée dancefloor (en import uniquement). C’est l’original qui est chroniqué ici.