23 titres, 21 minutes. Et pourtant, on ne peut pas décemment qualifier The Locust de grind pur. Étrange, non ? Hardcore noise grind indus punk electro alors ? Oui, c’est un peu ça. Il faut dire que les membres du groupe sont issus de formations death, hardcore ou punk techno hardcore (en tant que musiciens d’Alec Empire)…Bref, c’est assez inclassable, mais bizarrement plus accessible que du grindcore, puisqu’un peu plus mélodique. Malgré tout, j’éviterais de donner ça à une personne cardiaque, un enfant ou un fan de Stratovarius, sous peine de rejet immédiat et crise de démence. Un disque étrange, foutraque et violent à ne pas mettre entre toutes les oreilles.
The Locust : Live from the russian compound