LEFT BEHIND : No one goes to heaven

Graisse, groove, gros riffs ; la triple force G de Left Behind nous met un grand coup derrière la nuque, et semble prête à en découdre avec quiconque croisera son chemin. Ce soir, c’est moi. « No one goes to heaven » annonce déjà la couleur ; pas de pitié, pas de reddition, pas de pause. Ça n’empêche pas certains titres de prendre un peu plus leur temps, de se montrer un peu plus doom. La bio évoque Crowbar comme influence du combo, et je doit dire que dans les riffs les plus heavy doom, on en est pas loin. Versez-y un peu plus de thrashcore classique, aride et rampant, et vous aurez une idée assez juste de ce que vous aurez à subir au sein de ce troisième opus du trio américain. Ce album se tient bien, et enchaîne les titres qui sentent bon le pit. Alors ok, c’est pas la découverte de l’année, et dans sa catégorie, il n’est peut-être même pas le mieux placé, mais reste que Left Behind assure et saura convaincre, au moins pour un temps, les metalleux de passage.

Instagram

Facebook

Paroles de l’album

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *