Tout commence par une intro très conceptuelle (« Ufo »), dont on ne comprend pas du tout la présence, mis à part nous plonger assez poussivement dans une atmosphère pseudo-futuriste. « Silent Night, Alien Night » débarque, prêt à en découdre, mais trop réchauffé pour convaincre. Les autres titres, heureusement, susciteront un peu plus notre intérêt, en jouant la carte de la technicité, d’une certaine forme d’avant-gardisme, d’un côté science-fiction parfois surjoué, mais pas déplaisant pour autant. Malsain sans être dépressif, frais tout en restant convenu, ce « Flukt » laissera certainement dubitatifs un certain nombre d’entre-vous, mais a le mérite de faire s’interroger l’auditeur…
Angst Skvadron : Negativitetens kveletak