De plus en plus death, Behemoth poursuit son chemin jonché de cadavres avec un « The Apostasy » plus violent encore que ne pouvait l’être « Demigod », et encore une fois un peu plus brutal death. C’est donc un Behemoth plus cru qui est à l’oeuvre ici. Du moins jusqu’à « Inner Sanctum », titre extrêmement puissant et en même temps très original, à la fois violent, ambiancé, technique et malsain. Exception qui confirme la règle, car dès ce titre passé, on replonge dans l’hyper-violence caractéristique de l’œuvre des polonais. Rien à jeter ici, même si on regrettera le côté « occulte » du précédent, qui apportait une valeur ajoutée certaine à un genre sans concession tel que le pratiquent nombre de formations à travers le monde, encore et encore. Pas avec la même rigueur ni la même efficacité, d’accord d’accord…
Behemoth : Inner sanctum